Se souvenir de ce qui nous attend pour dépenser sagement notre argent

À qui demande-t-on conseil pour apprendre à gérer son argent ? Aux personnes qui gèrent leur argent en faisant fructifier ce qu’ils possèdent. Aux riches, évidemment ! Jésus, était-il riche ou pauvre ? On n’en sait pas grand-chose. Nous savons que des femmes pourvoyaient à son entretien… c’est suspect ! (Luc 8 : 1-3) Il ne s’est pourtant pas gêné de parler du sujet, et c’est de cela qu’il parle en grande partie en Luc 12.

Se souvenir de ce qui nous attend

Pendant ce temps, les gens s’étaient rassemblés par milliers, au point de s’écraser les uns les autres. Jésus se mit à dire à ses disciples : « Avant tout, méfiez-vous du levain des pharisiens, qui est l’hypocrisie. Il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. C’est pourquoi tout ce que vous aurez dit dans l’obscurité sera entendu en plein jour et ce que vous aurez dit à l’oreille dans les chambres sera proclamé sur les toits. […] » (Luc 12 : 1 – 3)

C’est redoutable, n’est-ce pas ? Tout ce que l’on a dit et fait de secret sera révélé au grand jour (Romains 1 : 16). Cela implique également que notre façon de gérer notre argent sera mise en lumière. Ce jour-là, les révélations rendront les Panama Papers anecdotiques face aux scandales dévoilés. Qu’en est-il de mes finances ? Est-ce que je serai fier ou honteux de ce qui sera mis en lumière ? Bien entendu, l’hypocrisie, ici, ne concerne pas uniquement, ni même principalement, des comptes douteux. Mais nos comptes et la gestion de notre argent font partie des choses qui seront révélées au grand jour.

Je vous le dis, à vous qui êtes mes amis…

À vous qui êtes mes amis : une phrase étonnante. Jésus appelle ses disciples ses amis.

Ne redoutez pas ceux qui tuent le corps et qui, après cela, ne peuvent rien faire de plus. Je vais vous montrer qui vous devez redouter : redoutez celui qui, après avoir tué, a le pouvoir de jeter en enfer. Oui, je vous le dis, c’est lui que vous devez redouter.  (Luc 12 : 4-5)

Nous ne devons pas craindre ceux qui peuvent tuer le corps, mais ne peuvent pas faire plus que de nous atteindre dans notre corps. Autrement dit, faites attention à « celui qui a le pouvoir de vous jeter en enfer ». Ce verset émet un double avertissement. Premièrement, une mise en garde contre les conseils et les enseignements de ceux qui ne suivent pas Dieu. Suivre de faux enseignement peut conduire à la mort (physique), mais surtout, et c’est bien plus dangereux, à la mort spirituelle (enfer). Ce n’est pas juste une affaire d’opinion ! Autrement dit : ne craignez pas la persécution, mais l’apostasie.

Deuxièmement, il faut se demander qui jette en enfer. Dans l’imaginaire collectif, on sépare la vie après la mort en deux, voire trois, endroits distincts. L’enfer, le paradis, et le purgatoire. L’idée qu’il n’y ait pas de rachat possible après la mort était tellement insoutenable que les hommes ont inventé un endroit après la mort où l’on pourrait se racheter de nos fautes… mais ce n’est qu’illusion ! Ne remettons pas à demain la décision de faire le bien : aujourd’hui est un jour de salut, et si demain nous mourons, il sera trop tard. Le purgatoire n’est qu’une invention.

Dans l’imaginaire collectif toujours, le paradis est le lieu que nous rejoignons après la mort et où Dieu règne, offrant à ceux qui y habitent joie, paix et bonheur. L’enfer est le lieu où Satan règne et fait souffrir les créatures qui y habitent : torture, dispute, fournaise. C’est la version numéro 1 de l’imaginaire collectif. La version numéro 2 raconte que puisque Dieu règne sur le paradis, la vie est morne, car les choses intéressantes sont interdites, notamment l’alcool, le jeu et le sexe, tandis qu’en enfer, c’est le bonheur avec sexe, alcool et fête.

Dans la pensée biblique en revanche, l’enfer est un lieu de souffrance terrible, où Dieu jette Satan en punition de sa rébellion. Satan n’a plus aucun pouvoir, et souffre. Dieu y jette tous ceux qui ont suivi l’exemple de Satan et se sont rebellés contre lui. C’est Dieu qui met en enfer pour punir ses créatures de leurs péchés. Aujourd’hui, nous n’avons plus l’habitude de parler de l’enfer, nous l’évoquons rarement et en terme très vague. Un homme en a parlé avec beaucoup d’éloquence. Écoutons un petit texte de Jonathan Edwards, prédicateur et théologien du 18e siècle, extrait du livret intitulé « Entre les mains d’un Dieu en colère[1] ».

L’Écriture parle souvent de la fureur de Dieu. « Il rendra à chacun selon ses œuvres, la fureur à ses adversaires, la pareille à ses ennemis » ; « Voici, l’Éternel arrive dans un feu, et ses chars sont comme un tourbillon ; il convertit sa colère en un brasier, et ses menaces en flammes de feu » (Ésaïe 59:18 ; 66:15). De même, notre lecture y découvre « la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu Tout-Puissant » (Apocalypse 19:15).

Il s’agit de paroles propres à déclencher une terreur extrême. Si seulement il était dit : « la colère de Dieu », ces mots indiqueraient déjà une horreur infinie, mais il est dit : « L’ardente colère du Dieu tout-puissant. » La fureur de l’Éternel ! Comme cela doit être terrible ! Qui peut en exprimer ou concevoir tout le sens !

C’est également « l’ardente colère du Dieu tout-puissant », comme si sa force toute-puissante allait se manifester dans l’effet de l’ardeur de cette colère. Son omnipotence est enragée pour ainsi dire. Qu’en sera la conséquence ? Qu’adviendra-t-il des vermisseaux minuscules qui vont l’endurer ? Quelle est la main dont la force suffit ? Jusqu’à quelle profondeur de misère terrible, indicible et inconcevable s’enfoncera la pauvre créature qui en subit les assauts !

Réfléchissez à cela, vous qui demeurez inconvertis. Le fait que Dieu exécute l’ardeur de sa colère laisse entendre qu’il en inflige le châtiment sans aucune pitié. Votre extrémité est terrible, car les tourments qui vous attendent n’ont aucune commune mesure avec votre force.

Mais, lorsqu’une tristesse infinie écrasera et engloutira votre pauvre âme, Dieu n’aura aucune compassion à votre égard. Il ne retardera pas l’exécution de sa colère. Il ne retiendra pas le poids de sa main. Vous ne bénéficierez d’aucune modération, ni de la moindre miséricorde. Dieu ne calmera pas la fureur de sa tempête. Il ne se souciera pas de l’acuité de vos souffrances.

Il veillera seulement à ce que vous ne souffriez pas au-delà des exigences de la justice. Il ne vous épargnera rien à la raison que vous êtes incapables de le supporter. « Moi aussi, dit-il, j’agirai avec fureur ; mon œil sera sans pitié, et je n’aurai point de miséricorde ; quand ils crieront à haute voix à mes oreilles, je ne les écouterai pas » (Ézéchiel 8:18).

Aujourd’hui, Dieu est encore prêt à avoir pitié de vous, car c’est encore un jour de grâce. Vous pouvez crier vers lui en ce moment même et avoir quelque espoir d’obtenir miséricorde. Mais, dès la fin du jour de grâce, vos plus lamentables cris et vos hurlements les plus douloureux seront vains.

Vous serez entièrement perdus et rejetés loin de Dieu, hors de son action bénéfique. Votre être continuera d’exister dans le seul but de souffrir la misère, car vous serez un vase de colère réservé pour la destruction. Votre seul service consistera à être remplis à ras bords de la colère divine. Loin de prendre en pitié́ vos cris vers lui, Dieu se rira de votre malheur, il se moquera quand la terreur vous saisira, selon les paroles de l’Écriture (Proverbes 1:25ss.).

Combien les paroles du grand Dieu que nous rapporte Ésaïe sont terribles : « Je les ai foulés dans ma colère, je les ai écrasés avec ma fureur ; leur sang a rejailli sur mes vêtements, et j’ai souillé tous mes habits » (63:3) ! Il est impossible de concevoir une pire manifestation de mépris, de haine et d’ardente indignation. Bien loin de prendre en pitié vos supplications ou de vous manifester le moindre regard de faveur, Dieu se contentera de vous fouler aux pieds.

Bien qu’il vous sache incapables de supporter le poids de son omnipotence, il ne s’en souciera pas. Il vous écrasera sans miséricorde. Il vous haïra et vous tiendra en un mépris total. Seule la boue des rues que l’on foule aux pieds daignera vous recevoir.

Fin de citation.

Redoutez celui qui, après avoir tué, a le pouvoir de jeter en enfer. Oui, je vous le dis, c’est lui que vous devez redouter. (Luc 12 : 5 b)

Le seul moyen d’échapper à la colère du Tout-Puissant, c’est de se confier en la bonté de Dieu manifestée en Jésus-Christ. C’est ce que Jésus souligne après ce verset.

Observez les corbeaux : ils ne sèment pas et ne moissonnent pas, ils n’ont ni cave ni grenier, et Dieu les nourrit. Vous valez beaucoup plus que les oiseaux ! Qui de vous peut, par ses inquiétudes, ajouter un instant à la durée de sa vie ? (Luc 12 : 24-25)

Se souvenir de ce qui nous attend… vous allez probablement rétorquer que ce qui nous attend, ce n’est pas l’enfer, mais une place auprès du Seigneur ! Et c’est juste ! Mais gardons à l’esprit que nous aurions dû supporter l’ardente colère du Dieu Tout-Puissant, et que nous y échappons par pure grâce, parce que Jésus a supporté la colère de Dieu à notre place. Lorsqu’on pense à la magnifique place que Dieu nous prépare, n’oublions pas celle à laquelle nous avons échappé. Si nous arrivons à saisir la puissance du salut qui vient de la croix, de ce rachat qui nous permet d’échapper à l’ardente colère du Dieu Tout-Puissant, alors nous avons réalisé la partie la plus difficile pour gérer avec sagesse notre argent.

Pour dépenser sagement notre argent

Du milieu de la foule, quelqu’un dit à Jésus : « Maître, dis à mon frère de partager notre héritage avec moi. » Jésus lui répondit : « Qui m’a établi pour être votre juge ou pour faire vos partages ? » Puis il leur dit : « Gardez-vous avec soin de toute soif de posséder, car la vie d’un homme ne dépend pas de ses biens, même s’il est dans l’abondance. » Il leur dit cette parabole : « Les terres d’un homme riche avaient beaucoup rapporté. Il raisonnait en lui-même, disant : “Que vais-je faire ? En effet, je n’ai pas de place pour rentrer ma récolte. Voici ce que je vais faire, se dit-il : j’abattrai mes greniers, j’en construirai de plus grands, j’y amasserai toute ma récolte et tous mes biens, et je dirai à mon âme : Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour de nombreuses années ; repose-toi, mange, bois et réjouis-toi.” Mais Dieu lui dit : “Homme dépourvu de bon sens ! Cette nuit même, ton âme te sera redemandée, et ce que tu as préparé, pour qui cela sera-t-il ?” Voilà quelle est la situation de celui qui amasse des trésors pour lui-même et qui n’est pas riche pour Dieu. » (Luc 12 : 13-21)

Avec cette parabole, Jésus relève trois éléments.

  1. Nous sommes appelés à nous satisfaire de notre situation (gardez-vous avec son de toute soif de posséder).
  2. Ce n’est pas l’argent qui dirige. Il ne dirige ni le monde ni notre vie (la vie d’un homme ne dépend pas de ses biens).
  3. C’est Dieu qui décide de notre vie (être riche pour Dieu).

Le problème, ici comme ailleurs dans la Bible, n’est pas le fait d’être riche, ou d’être pauvre. Il s’agit de mettre nos biens au service de Dieu. Suivant les milieux chrétiens que vous fréquentez, la richesse sera vue comme une bénédiction de Dieu ! Dans d’autres, le bon chrétien vit au pire sobrement, ou mieux, fait vœu de pauvreté. Dans la Bible, l’argent n’est pas un indicateur de la bénédiction. Dieu a rendu riche Abraham, David, Salomon ! Mais d’autres hommes sont restés pauvres : Élie, Jérémie, Jean-Baptiste. La question que la Bible nous pose par rapport à nos biens : sommes-nous riches pour Dieu, ou pour nous-mêmes ?

Jésus continue et parle des corbeaux. Ils ne travaillent pas, et Dieu les nourrit. Vous êtes bien plus précieux que des corbeaux ! Ne vous inquiétez donc pas de ce que vous mangerez, de ce que vous boirez ou de ce dont vous vous habillerez ! Ne soyez pas inquiets ! au contraire, dit Jésus :

Vendez ce que vous possédez et faites don de l’argent. Faites-vous des bourses qui ne s’usent pas, un trésor inépuisable dans le ciel, où le voleur n’approche pas et où la mite ne détruit pas. En effet, là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur. (Luc 12 : 33 – 34)

Faut-il que chacun d’entre nous renonce aux biens matériels ? Il me semble que cela dépend de l’appel que Jésus nous adresse. Laissez-nous interpeller par ce verset. Qu’est-ce que Dieu nous dit ? Y a-t-il quelque chose que nous possédons avec la conviction que nous devons nous en séparer ? Si c’est le cas, allons le vendre et faisons don de l’argent ! Mais ne le faisons pas parce qu’un pasteur nous a suggéré de le faire. Faisons-le si nous avons la conviction que Dieu nous le demande. Et cela m’amène au premier point de quelques considérations pratiques pour utiliser sagement son argent[2].

  1. Tout le monde possède de l’argent, au minimum un petit peu. C’est à vous que Dieu l’a confié, pas à moi ou à quelqu’un d’autre. C’est à vous, maintenant, de savoir comment l’utiliser.
  2. Assurons-nous d’être généreux, par exemple en mettant en place un débit direct. Un moyen de suivre une recommandation de Paul qui dit de mettre de côté au début de la semaine ce que l’on donnera le dimanche.
  3. Évitons les situations de pauvreté et au contraire cherchons à avoir un style de vie qui nous permet de prendre soin des pauvres (histoire de Lazare, Luc 16 : 19-31)
  4. Si nous gagnons plus d’argent que ce dont nous avons besoin, mettons en place des mécanismes pour être riche pour Dieu, par exemple avec un mécanisme qui redistribue une partie de nos gains à une fondation.

Il dit encore aux foules : « Quand vous voyez un nuage se lever à l’ouest, vous dites aussitôt : “La pluie vient”, et c’est ce qui se passe. Quand vous voyez souffler le vent du sud, vous dites : “Il fera chaud”, et c’est ce qui arrive. Hypocrites ! Vous savez reconnaître l’aspect de la terre et du ciel ; comment se fait-il que vous ne reconnaissiez pas ce temps-ci ? Et pourquoi ne discernez-vous pas par vous-mêmes ce qui est juste ? Lorsque tu vas avec ton adversaire devant le magistrat, tâche en chemin de t’arranger avec lui, de peur qu’il ne te traîne devant le juge, que le juge ne te livre à l’officier de justice et que celui-ci ne te mette en prison. Je te le dis, tu n’en sortiras pas avant d’avoir payé jusqu’au dernier centime. » (Luc 12 : 54 – 59)

Nous sommes encore en chemin… S’il y a là une invitation à se mettre en règle avec notre prochain, à combien plus forte raison il y a un avertissement à nous mettre en règle avec Dieu ! Vous savez discerner les signes ! Tout nous montre qu’un jour ce monde va se terminer dans la violence. Réchauffement climatique, guerre au loin et un peu moins loin, catastrophes naturelles, épidémies, pandémies… Nul ne sait quand Jésus reviendra, mais s’il vient au moment où nous ne l’attendons pas, nous trouvera-t-il en train de faire sa volonté ?

Lorsque ton voisin te traîne en justice, tu as peut-être la possibilité de t’en sortir en payant une amende et des dédommagements. Qu’en sera-t-il face à Dieu ? Notre argent ne nous sera d’aucune utilité pour échapper à l’ardente colère du Dieu Tout-Puissant. Alors, pendant que nous sommes en route, mettons-nous en règle avec lui. Nous ne sommes pas seuls ! Jésus chemine sur la même route que nous, envoyé par le Père pour nous proposer un arrangement avant le jugement terrible et irrévocable où la lumière éclairera ce que nous avons fait en secret. Ne nous inquiétons pas de ce que nous mangerons sur la route, de ce que nous gardons ou perdons, nous avons plus de valeur aux yeux de Dieu que les corbeaux. Et avec nos biens, la possibilité d’amasser un trésor qui ne disparaîtra jamais.

[1] Le livret peut être téléchargé ici : https://www.chapellibrary.org, consulté le 24 avril 2024.

[2] Une partie de ces recommandations sont également formulée par PIPER, « Let’s Be Rich Toward God », 28 janvier 2012, dans Desiring God, https://www.desiringgod.org/messages/lets-be-rich-toward-god (Page consultée le 24 avril 2024).

Benjamin Henchoz
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