Est-ce qu’il vous arrive de savoir des choses, bonnes, utiles, mais de ne pas réussir à les mettre en pratique ? C’est quelque chose de très courant, et qui peut avoir des conséquences tragiques dans notre vie. A travers l’exemple de Gédéon, nous allons voir quels sont les risques de cette attitude, et quelle est la clef que Jésus nous donne pour passer de la théorie à la pratique.

Gédéon, un homme humble

Israël vivait sous la tyrannie des Madianites. Le peuple s’est tourné vers Dieu pour lui demander de l’aide. L’Éternel a répondu favorablement à cette demande, et a envoyé un ange apporter un message à Gédéon. Dieu l’a choisi pour libérer Israël de l’asservissement. Voici un extrait de ce discours.

14 L’Éternel se tourna vers lui et dit : « Va avec la force que tu as et délivre Israël de l’oppression de Madian. N’est-ce pas moi qui t’envoie ? » 15 Gédéon lui dit : « Ah ! mon seigneur, avec quoi délivrerai-je Israël ? Mon clan est le plus faible de Manassé et je suis le plus petit dans la famille de mon père. » (Juges 6:14-15)

Il s’agit probablement d’une façon de parler, car la maison de Gédéon ne semble pas si faible que ça. La suite de l’histoire nous révèle qu’il a du bétail, plus de dix serviteurs, que c’est sa famille qui a érigé les statues des idoles dans sa ville, et que son père a une parole influente dans la ville. Trois points qui remettent en question le fait que Gédéon est si misérable.

Est-ce que Gédéon aurait menti à l’ange de Dieu ? C’est peu probable. N’est-ce pas plutôt une marque d’humilité ? Une manière de dire que cet honneur n’est pas mérité ? On peut facilement s’en convaincre en imaginant la réponse inverse. « Oui Seigneur, tu as fait le bon choix. Je viens d’une bonne famille et j’ai de nombreuses ressources que je mettrai à ta disposition. Cela ne fait aucun doute, avec moi pour héros, la victoire est à portée de main ! »

L’humilité est la première interpellation à laquelle nous sommes confrontés lorsque nous lisons l’histoire de Gédéon. Est-ce que je fais preuve de la même humilité ? Cet appel à ne pas être imbu de soi n’est pas propre à ce passage, c’est une constance dans la Bible. Jésus lui-même a fait preuve d’humilité, en s’abaissant jusqu’à mourir sur la croix. C’est pourquoi Dieu l’a relevé et lui a donné la vie (voir Philippiens 2 : 1 – 11). Les hommes qui ont fait une démonstration d’orgueil, au contraire, ont eu des ennuis qui les ont poursuivis au-delà de la mort. Qu’en est-il de ma propre personne ? Si Dieu me disait aujourd’hui : tu es celui, ou celle, que j’ai choisi pour faire triompher la vérité ! Est-ce que j’aurais l’attitude de Gédéon en répondant : mais ce n’est pas possible Seigneur ! Je n’ai pas les qualités requises pour ça ! Ou est-ce que je dirai : mais oui ! c’est normal, je prie tous les jours !

C’est une attitude que nous sommes appelés à cultiver, non seulement envers Dieu, mais également les uns envers les autres. Sans fausse modestie, sans se dénigrer, sans nier sa valeur.

Gédéon, un homme de foi

Dieu va demander à Gédéon des actes courageux. Il devra détruire les idoles, les statues des faux dieux qui trônent dans sa ville. Puis il lui faudra rassembler une armée contre les Madianites. Une armée qui est moins nombreuse, et probablement bien moins équipées que celles des ennemis. Ce n’est pas simple, et Gédéon demandera deux signes à Dieu.

Pour le premier, il dépose une toison, une peau de mouton avec sa laine, par terre durant la nuit. Le lendemain, le sol est sec. Habituellement, le sol est mouillé en raison de la rosée, une couche d’eau plus ou moins importante qui se dépose le matin sur le sol. Mais pas ce jour-là. Seule la peau est trempée, il l’essore et rempli une coupe d’eau. C’est le signe qu’il avait demandé à Dieu pour s’assurer qu’il lui accorderait la victoire. Mais le doute est encore là, alors il demande à l’Éternel l’inverse pour le jour suivant : que le sol soit mouillé, et la toison sèche ! Ce signe lui est aussi accordé. Gédéon se met en marche contre les Madianites avec son armée de 20 000 hommes. Selon Dieu, ils sont trop nombreux et pourraient penser qu’ils ont réussi à vaincre leurs ennemis par eux-mêmes[1]. Le Seigneur demande à Gédéon de diminuer la taille de sa troupe. Avec les 300 soldats que Dieu lui a confiés, il battra l’armée madianite de 135 000 hommes, un véritable miracle. Gédéon a fait preuve de foi, le Nouveau Testament le classe parmi les héros de la foi :

32 Et que dirais-je encore ? Le temps me manquerait en effet pour parler de Gédéon, de Barak, de Samson, de Jephthé, de David, de Samuel et des prophètes. 33 Par la foi, ils ont vaincu des royaumes, exercé la justice, obtenu la réalisation de promesses, fermé la gueule de lions, 34 éteint la puissance du feu, échappé au tranchant de l’épée, repris des forces après une maladie, été vaillants à la guerre, mis en fuite des armées étrangères. (Hébreux 11:32-34)

Une nouvelle interpellation pour nous : quel est le degré de notre fois ? Est-ce que nous croyons que Dieu est tout puissant et sommes-nous prêts à vivre en conséquence ? Nous aimerions tous être Gédéon. Il n’y en a eu qu’un seul, et pourtant tout le peuple a été bénéficiaire du secours de Dieu. Est-ce que je suis capable d’accepter que Dieu envoie son secours en appelant une personne autre que moi ? C’est un retour à l’humilité. Ces deux interpellations sont courantes dans la Bible et le lecteur se laisse volontiers interpeller par ces deux thématiques. La suite de l’histoire de Gédéon laisse toutefois perplexe.

Gédéon, un homme impulsif

L’armée madianite est en déroute. Gédéon envoie des émissaires dans le territoire d’Ephraïm pour que ses compatriotes leur coupent la route. Ils le font et tuent deux chefs des Madianites. Une fois sur place, les Éphraïmites lui reprochent de ne pas les avoir associés à sa victoire. Gédéon se fait petit et souligne qu’en comparaison à ce qu’ils ont fait eux, tuer deux chefs Madianites, sa victoire est bien maigre. On pourrait y voir de l’humilité, une façon d’éviter le conflit et de rester centré sur l’objectif. Mais la suite de l’histoire semble plaider pour une autre interprétation. Ephraïm était fort, et Gédéon n’était pas en mesure de les affronter. Il s’efface, car il n’a pas la capacité de les châtier pour leur propos. En effet, il continue sa route et a besoin de vivre pour ses hommes. Il demande aux habitants de Succoth de lui venir en aide, un soutient qu’ils refusent. Gédéon leur promet des représailles violentes une fois qu’il aurait exterminé les Madianites. La même chose se produit dans une autre ville, avec les mêmes menaces.

Il arrive finalement à rattraper les Madianites et à les vaincre, la victoire est totale. Sur le chemin du retour, il met à exécution ses menaces. Au lieu de fêter la victoire avec ses compatriotes, il les punit pour leur manque de coopération. L’humilité dont il avait fait preuve semble avoir totalement disparu…

On est en temps de guerre, cet écart envers ses compatriotes ne semble pas susciter d’indignation.

22 Les Israélites dirent à Gédéon : « Domine sur nous, toi, puis ton fils et tes descendants, car tu nous as délivrés de l’oppression de Madian. » 23 Gédéon leur dit : « Je ne dominerai pas sur vous, et mes descendants non plus. C’est l’Éternel qui dominera sur vous. » (Juges 8.22)

Gédéon se souvient que ce n’est pas à lui de régner sur Israël, et que c’est seulement Dieu qui a ce privilège. Il renonce donc à la royauté. Est-ce qu’il a retrouvé son humilité ? Loin de là, car il refuse le titre de roi, mais il accepte les privilèges.

24 Gédéon ajouta : « J’ai une demande à vous faire : donnez-moi chacun les anneaux de votre butin. » — Les ennemis avaient des anneaux d’or, car c’étaient des Ismaélites. — 25 Ils répondirent : « Nous te les donnerons volontiers », et ils étendirent par terre un manteau, sur lequel chacun jeta les anneaux pris dans son butin. 26 Le poids des anneaux d’or que demanda Gédéon fut de près de 20 kilos, et ce sans compter les ornements en forme de croissant, les boucles d’oreilles et les vêtements de pourpre que portaient les rois de Madian, ni les colliers qui étaient au cou de leurs chameaux.

Gédéon prend pour lui le butin de guerre. Rien n’indique qu’il le partage ! Certainement que le butin n’était pas uniquement constitué d’or, mais Gédéon prend pour lui ce qu’il y a de plus précieux. C’est une manière de se positionner comme le chef, comme celui qui a remporté la victoire. Mais pour vaincre une armée de 135 000 hommes avec 300 hommes, il est évident que la victoire revient à Dieu. Le succès lui est monté à la tête.

Ce n’est pas tellement la richesse le problème. La Bible ne condamne pas la richesse, mais l’usage qu’on en fait. C’est intriguant. Comment ne pas tomber dans ce piège ? Est-ce qu’il n’y a pas devant nous cette même tentation de rechercher une récompense ici et maintenant ? Pour ne pas tomber dans sur cette embûche, il faut garder à l’esprit que notre trésor n’est pas de ce monde. Nous appartenons au royaume de Jésus, qui a dit : mon royaume n’est pas de ce monde !

Gédéon utilise de la pire de façon imaginable le trésor qu’il a recueilli.

 27 Gédéon en fit un éphod qu’il plaça dans sa ville, à Ophra. Il y devint l’objet des prostitutions de tout Israël et il fut un piège pour Gédéon et pour sa famille.

C’est un déni complet de l’œuvre de Dieu dans sa vie.

28 Les Madianites furent humiliés devant les Israélites et ne relevèrent plus la tête. Le pays fut en paix pendant 40 ans, c’est-à-dire durant la vie de Gédéon.

Malgré cela, Dieu n’abandonne pas Gédéon et l’utilise pour faire régner la paix en Israël.

29 Jerubbaal, fils de Joas, retourna habiter dans sa maison. 30 Gédéon eut 70 fils, tous issus de lui, car il eut plusieurs femmes.

Imaginez-vous ce train de vie ? 70 enfants… si Gédéon et sa famille venaient nous rendre visite, ils rempliraient cette salle aisément ! La royauté que Gédéon a refusée par la parole, il l’a chaleureusement accueillie par ses actes.

 31 Sa concubine, qui résidait à Sichem, lui donna aussi un fils, qu’on appela Abimélec. 32 Gédéon, fils de Joas, mourut après une heureuse vieillesse. Il fut enterré dans le tombeau de son père Joas, à Ophra, village de la famille d’Abiézer. (Juges 8:24-32)

Abimélec signifie « mon père est roi ». Non seulement il se désigne roi par le nom de son fils, mais il le fait avec un fils illégitime…

Cet homme, qui accepte de façon détournée la royauté, qui entraîne Israël à l’idolâtrie, qui a un train de vie indécent : c’est Gédéon. C’est celui que Dieu a choisi comme libérateur d’Israël. Troublant, n’est-ce pas ?

Une connaissance théorique

Il y a dans cette histoire une mise en garde formidable. D’un côté Gédéon dit : je ne veux pas devenir roi, car seul Dieu est votre roi. De l’autre côté, Gédéon par sa vie manifeste : je règne sur vous. Il y a une opposition entre la compréhension et la mise en pratique. Dans la pensée biblique, il ne s’agit pas simplement de connaître la volonté de Dieu, mais surtout de la mettre en pratique (voir Romains 2 : 17 – 29). Où est-ce que tu en es dans ta vie ? Dans la théorie ou la mise en pratique ? Où est-ce que j’en suis ? Mettons en pratique ce que nous avons compris sur Dieu.

Gédéon a accueilli avec humilité l’élection de Dieu et il a agi avec foi pour saisir la victoire de Dieu. Après cette victoire, il s’est laissé emporter par le succès. Ça arrive tellement vite. Lorsqu’on a beaucoup travaillé sur un projet, particulièrement sur un projet pour le bien commun, on se dit que finalement on a bien le droit à une petite récompense, non ? De toute façon, sans son intervention, le peuple n’aurait pas eu accès à tout ce butin, et en plus il serait encore en train de s’appauvrir en raison des raids des Madianites. Grâce à lui, le peuple aura enfin la possibilité de gagner sa vie. Puisque Dieu est avec lui, c’est normal qu’il ait son mot à dire dans la gouvernance du peuple, n’est-ce pas ? On ne sait pas ce qui conduit Gédéon à faire ses choix. Une chose est sûre, il a écouté sa chair au lieu d’écouter Dieu.

Nos pulsions crucifiées avec Christ

N’est-ce pas le même problème que nous rencontrons lorsque nous savons quelque chose intellectuellement, et que nous faisons autre chose dans la pratique ? Au lieu de faire ce que Dieu nous demande, nous faisons ce que la chair nous dicte. Jésus est venu pour que notre chair soit crucifiée avec lui sur la croix. C’est une image qui désigne une réalité spirituelle : lorsque nous acceptons l’œuvre du Christ sur la croix, notre chair et son envie de pécher sont mises à mort avec lui sur la croix. La chair, dans la suite de cette prédication, ce n’est pas l’élément physique qui constitue notre corps, mais les pulsions mauvaises qui lui sont liées.

 6 Nous savons que notre vieil homme a été crucifié avec lui afin que le corps du péché soit réduit à l’impuissance et qu’ainsi nous ne soyons plus esclaves du péché. 7 En effet, celui qui est mort est libéré du péché. (Romains 6:6-7)

Lorsque la tentation est là, lorsque nous sommes remplis de désir face à une situation qui se trouve devant nous, proclamons avec foi que nous avons accepté que Jésus soit condamné à notre place sur la croix, et que par conséquent nous ne sommes plus tenus d’accomplir ses désirs.

Paul exprime ailleurs cette idée :

5 Faites donc mourir en vous ce qui est terrestre : l’immoralité sexuelle, l’impureté, les passions, les mauvais désirs et la soif de posséder, qui est une idolâtrie. 6 C’est à cause de cela que la colère de Dieu vient [sur les hommes rebelles]. 7 Vous aussi autrefois, lorsque vous viviez parmi eux, vous marchiez dans ces péchés. 8 Mais maintenant, renoncez à tout cela, à la colère, à la fureur, à la méchanceté, à la calomnie, aux grossièretés qui pourraient sortir de votre bouche. (Colossiens 3 : 5-8)

Dans cette liste, on reconnaît la cupidité qui a dominé Gédéon, ainsi que l’immoralité sexuelle, la soif de posséder, probablement la colère. On remarque également l’impératif présent qui est utilisé par Paul : faites donc mourir. Ce n’est pas un choix, c’est l’attitude d’un chrétien ! Ce n’est pas au passé, comme si tout avait été accompli lors de notre conversion ! Oui, j’ai vécu de grandes choses lors de ma conversion. Mais aujourd’hui, où est-ce que j’en suis ? Est-ce que dans cette liste, il y a des choses qui m’ont sauté aux yeux ? Cupidité. Immoralité sexuelle — c’est tellement tentant à l’heure d’internet ! N’importe où, n’importe quand, c’est à la portée d’un clic.

Calomnie… Vous ai-je déjà parlé de mon voisin ? Fureur… Méchanceté… Grossièretés qui pourraient sortir de votre bouche. Mais maintenant, renoncez à tout cela !

Marcher par la foi

Tu te dis peut-être que tu n’y arriveras pas… c’est bien, c’est un bon début. Est-ce que tu crois que Dieu a vaincu les Madianites ? Est-ce que tu crois que Dieu va faire taire tes ennemis ? Si c’est le cas, est-ce que tu ne crois pas qu’il va aussi te donner la victoire sur tes luttes internes ? La foi. La foi que Christ est Tout-Puissant et que sur la croix, le mal a été vaincu. Veux-tu le savoir, ou le vivre ?

La prochaine fois que tu songeras à critiquer ton mari, demande à Dieu de venir à ton secours, et parle d’autre chose. La prochaine fois que tu es tenté de cliquer en cachette sur ton ordinateur, ou d’aller voir quelqu’un d’autre, rappelle-toi que Christ est mort pour que ces pulsions ne nous dominent plus. Nous devons passer de la théorie à la pratique. La foi est faite pour être vécue.

Gédéon s’est laissé gagner par ses désirs. De l’or, des femmes, et de nombreux enfants, obtenus d’une façon illégitime. Gédéon est mort après une heureuse vieillesse, nous dit la Bible. Mais après lui… son fils, Abimélec, qu’il a eu avec une femme illégitime a décidé de prendre sa place et de devenir roi. Pour éviter toute contestation, il a tué tous ses frères. 70 personnes passées au fil de l’épée, sur une même pierre ! Sacrifiés pour satisfaire la soif de pouvoir d’Abimelec ! On ne faisait pas dans la dentelle à l’époque. Qu’est-ce qu’il est resté de Gédéon ? Seul le plus jeune de ses fils a réussi à s’échapper, Jotham.

Comme le dit le Nouveau Testament :

 Et l’affection de la chair, c’est la mort, tandis que l’affection de l’Esprit, c’est la vie et la paix (Romains 8:6)

Il y aurait de nombreux exemples modernes, il suffit de lire la presse pour s’en convaincre. Soit par la foi nous marchons avec Dieu, avec son Esprit, et nous portons du fruit pour la vie, soit nous aimons nos désirs propres et nous produisons la mort. Pour ne pas céder à l’orgueil, passons de la théorie à la pratique. Vivons par la foi en comptant sur le secours de Dieu ! Ayons confiance dans le Saint-Esprit qui vit en nous.

Conclusion : Gédéon est un héros de la foi

32 Et que dirais-je encore ? Le temps me manquerait en effet pour parler de Gédéon, de Barak, de Samson, de Jephthé, de David, de Samuel et des prophètes. 33 Par la foi, ils ont vaincu des royaumes, exercé la justice, obtenu la réalisation de promesses, fermé la gueule de lions, 34 éteint la puissance du feu, échappé au tranchant de l’épée, repris des forces après une maladie, été vaillants à la guerre, mis en fuite des armées étrangères. (Hébreux 11:32-34)

Gédéon, un héros de la foi. Dieu s’est servi d’homme comme toi et moi. Ce n’est pas nos œuvres qui vont nous sauver, mais Dieu. Malgré ses égarements, Gédéon a été sauvé. Le salut est accessible, il n’est pas loin de nous, il se trouve en Jésus. Alors s’il nous arrive de marcher par la chair, soyons résolument confiants dans l’œuvre de Jésus. Demandons-lui pardon, et n’ayons crainte : Dieu mettra encore de nombreuses occasions sur notre chemin pour que nous devenions des héros de la foi, en marchant non par la chair, mais par son Esprit ! Gédéon est un héros de la foi, et c’est Dieu qui le dit.

[1] La prédication « Faire plus avec moins » parle de cet épisode de la vie de Gédéon.

Benjamin Henchoz

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