Le célibat : témoin de notre espérance

Dans les églises, le sujet du mariage revient régulièrement. Le monde évangélique a développé une offre pour accompagner les chrétiens dans les défis du mariage : cours de préparation au mariage, accompagnement de couple, week-end pour couple, etc. Toutefois, sur le célibat, il n’existe pas beaucoup de ressources. La seule chose dont je me souvienne, c’est l’organisation assez ponctuelle de soirée pour célibataires dans le but de les aider à rencontrer quelqu’un, et la mise en place de sites de rencontre « chrétien ». C’est un peu comme si notre théologie évangélique du célibat se résumait à l’attente de la rencontre de l’âme sœur pour enfin entrer dans les projets de Dieu. Bien que ce ne soit pas représentatif de toutes les églises, il arrive régulièrement que des célibataires aient l’impression de ne pas être pleinement considérés par l’église en raison de leur célibat. On leur fait ressentir qu’ils ne sont pas encore complets, pas encore des hommes ou femmes matures, pas tout à fait adultes. Ce n’est toutefois pas l’expérience que nous faisons du célibat, que nous pouvons retrouver dans quatre situations de vie :Les jeunes célibataires qui attendent de rencontrer l’amour de leur vie ;

  • Les célibataires sur le long terme, qui par choix ou par la force des choses ne sont pas mariés ;
  • Les personnes qui ont divorcé ;
  • Les personnes qui ont perdu leur conjoint, les veuves et les veufs qui ne se sont pas remariés.

Alors que le célibat fait pleinement partie de notre société, on peut se demander pourquoi l’église n’y prête pas plus d’attention. Je suppose qu’en plus des raisons sociologiques qui nous poussent à favoriser une vie de couple, tout comme cela se fait dans la société par ailleurs, il y a une théologie sous-jacente à cette négligence, une théologie qui n’est pas mauvaise, mais qui est incomplète, qui ne prend pas pleinement compte de l’œuvre du Christ sur la croix.

Quelques éléments que vous ne trouverez pas dans la suite de cette présentation :

  • Les textes de la Bible qui parlent du veuvage ou du divorce ne seront pas abordés. Il sera question du célibat comme l’absence de mariage. Toutefois, ce qu’on tirera de ces textes permettra également aux veuves, aux veufs et aux personnes divorcées de grandir dans l’espérance que Jésus nous donne.
  • Le but de cette prédication n’est pas de vous rejoindre dans les défis que vous rencontrez en tant que célibataires, qui sont nombreux (solitude, absence de partenaire avec qui partager…), mais de dresser les grandes lignes de ce que dit la Bible dit du célibat afin qu’à partir de là vous trouviez des réponses à vos défis.
  • Une comparaison entre le mariage et le célibat : si vous souhaitez avoir une vision plus complète, je vous renvoie à la prédication et au document déjà publié sur le sujet[1].

Nous verrons comment le célibat a été perçu au cours de l’histoire du Salut[2], afin de comprendre pourquoi le célibat est perçu négativement dans l’Ancien Testament et positivement dans le Nouveau Testament. La venue du Christ change notre perspective de vie.

Le célibat lors de la Création

Tout commence avec la création de l’homme, dans les deux premiers chapitres de la Genèse. Dieu créé les êtres humains à son image et leur confie un mandat qui débute ainsi : « Reproduisez-vous, devenez nombreux, remplissez la terre… » (Genèse 1:28 b).

Il n’y a pas besoin d’aller plus loin dans l’histoire de l’humanité pour être confronté à un problème de taille : comment un célibataire pourrait-il mener à bien le projet que Dieu a confié à l’humanité ? Quelle est la place des personnes seules dans la Création de Dieu ?

La création de l’homme et de la femme est racontée deux fois dans la Genèse. Allons au chapitre 2, dans lequel on y lit que l’homme a été créé avant la femme. « L’Éternel Dieu dit : “Il n’est pas bon que l’homme soit seul. Je lui ferai une aide qui soit son vis-à-vis.” »  (Genèse 2 : 18) La première conclusion suggérée par le texte est que l’homme (et par analogie et conséquence la femme) doit être marié.

Si nous en restons à ces deux versets, le problème théologique que la présence de célibataires soulève dans l’église est facilement compréhensible. Dans cette perspective limitée, il n’existe que deux solutions au célibat, le mariage ou la vieillesse qui rendrait improbable le mariage. Mais il serait dommage de s’arrêter aux deux premières pages de la Bible, car si nous le faisions, nous manquerions à coup sûr la raison qui nous fait vivre : le Christ.

La chute et ses conséquences sur le célibat

La nécessité d’une descendance

Malheureusement, dans le jardin d’Eden, les êtres humains ont écouté la voix du serpent. Le diable les a conduits à désobéir à Dieu et par leur désobéissance, ils ont fait entrer le péché dans le monde. Cela a été une véritable chute. En effet, au lieu d’avoir une vie paisible, elle est devenue difficile. Au lieu d’un jardin, l’homme doit cultiver la terre. Au lieu de se multiplier sans difficulté, la femme met au monde dans la souffrance. Au lieu de la communion entre l’homme et la femme, la dispute et la domination. Mais, nous dit Dieu, une descendance viendra écraser la tête du serpent. Lorsque Dieu s’adresse à Abraham, il lui promet une fois de plus une descendance. Ce sera le cas également avec David. Au fil des pages de la Bible, la nature de cette descendance se précise. Il s’agit du Messie, de celui qui apportera la libération. Pour être dans la course, pour appartenir à ceux qui font partie de la libération, il faut donc procréer.

Le célibat : une malédiction

Dans l’Ancien Testament, le célibat semble être une malédiction, même si l’Ancien Testament parle peu des célibataires. Il n’y a d’ailleurs qu’un célibataire mentionné explicitement, Jérémie, en raison du malheur dont Dieu frappe Israël en raison de ses péchés (Jérémie 16 : 1-4). Elle en parle aussi de manière détournée lorsqu’il est question des eunuques. Les eunuques, ce sont les hommes qui ont été castrés. Il s’agit de la pire forme de célibat, pour deux raisons. Il y a d’une part la mutilation physique, et d’autre part l’impossibilité de changer d’état. Si l’on fait une brève recherche dans la Bible, on remarque tout de suite que c’est une malédiction que d’être eunuque. Il n’y a pas besoin d’une longue explication pour le comprendre, car cela nous semble logique. C’est d’ailleurs une pratique formellement interdite dans la loi que Dieu a donnée à son peuple : « L’homme dont les testicules ont été écrasés ou l’urètre coupé n’entrera pas dans l’assemblée de l’Éternel. » (Deutéronome 23:2) Pas d’espoir, donc, pour les eunuques, et par extension une vie bien compliquée pour les célibataires. La bénédiction que Dieu avait adressée à Abraham n’était-elle pas d’avoir une nombreuse descendance ? Le salut ne devait-il pas venir de la descendance de David ?

Avoir une postérité est tellement important que Dieu donne même une loi à son peuple : si un homme meurt avant d’avoir eu des enfants avec sa femme, son frère épousera sa femme et le premier-né de leur union portera le nom du défunt.

Arrivé à ce stade, on comprend aisément pourquoi il arrive régulièrement que le célibat soit mal perçu dans les églises, comme une sorte d’état qui ne peut se vivre qu’en l’attente de rencontrer quelqu’un ou en l’attente de la mort. Une perspective d’ailleurs largement partagée par notre société, où le couple — même instable ! — semble être la seule forme de vie acceptable. Demeurer célibataire, c’est ne pas avoir trouvé chaussure à son pied. Le couple marié avec enfant n’est-il pas le projet de Dieu pour l’humanité ?

On pourrait dire en quelque sorte que le célibat témoigne de l’espérance que le peuple de Dieu avait avant la venue de Jésus. Le salut était futur, il était à venir dans la descendance. Ne pas porter de descendances, c’était ne pas participer à cette espérance, et c’était donc une malédiction.

Une promesse pour les célibataires dans les temps futurs

Si la compréhension de la Bible s’arrête ici, on comprend donc aisément pourquoi les célibataires ont souvent eu de la difficulté à trouver leur place dans l’église. Mais la Bible continue, la révélation de Dieu dans son projet pour l’humanité continue, et, toujours dans l’Ancien Testament, il y a une promesse formidable[3].

La prophétie d’Esaïe 56 : 3-5 détonne au milieu de cette perspective de malédiction :

3 Que l’étranger qui s’attache à l’Éternel ne dise pas : « L’Éternel me séparera certainement de son peuple ! » et que l’eunuque ne dise pas : « Je ne suis qu’un arbre sec ! » 4 En effet, voici ce que dit l’Éternel : Si des eunuques respectent mes sabbats, choisissent de faire ce qui me plaît et restent attachés à mon alliance, 5 je leur donnerai dans mon temple et à l’intérieur de mes murailles une place et un nom qui vaudront mieux, pour eux, que des fils et des filles. En effet, je leur donnerai un nom éternel qui ne disparaîtra jamais.

Quel contraste avec ce qui précède ! Dieu promet aux eunuques une bénédiction qui est plus grande que des fils et des filles. En d’autres termes, Dieu promet aux célibataires fidèles une bénédiction bien meilleure que le mariage et les enfants ! Comment cela est-il possible ? D’où vient cette promesse ? Revenons un peu en avant, dans le livre d’Esaïe, au chapitre 53, qui a annoncé plusieurs siècles en avance la manière dont Dieu viendrait délivrer son peuple : le Messie souffrira à cause de notre péché. Lui qui n’avait commis aucune faute sera châtié comme un coupable à notre place afin de nous offrir, à nous, la rédemption. En Esaïe 53.10 nous lisons :

10 Il a plu à l’Éternel de le briser par la souffrance… Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, il verra une postérité et prolongera ses jours ; et l’œuvre de l’Éternel prospérera entre ses mains.

« Il verra une postérité »… quelle grande promesse ! Le Christ est mort comme « sacrifice pour nos péchés ». Il s’est relevé d’entre les morts pour « prolonger ses jours » et voir « une postérité », ses descendants, des fils et des filles en grand nombre. L’œuvre de Christ est si puissante qu’elle produit une descendance, non par la chair, mais par le rachat du Christ sur la croix. Les descendants du Christ ne le sont pas par le mariage et la procréation, mais par l’œuvre de Jésus (Jean 1 : 12-13 ; Jean 3:5).

Résumons ce que nous avons vu dans l’Ancien Testament :

  • Lors de la Création, Dieu demande à l’homme de se multiplier ;
  • Après la chute, le célibat semble être une malédiction, car la procréation est primordiale : il n’y a pas de célibataire mentionné (excepté Jérémie dans le cas d’une malédiction), les eunuques sont retranchés du peuple, et si un homme meurt sans enfants son frère est chargé de lui en faire un ;
  • Une promesse annonce que cette malédiction sera brisée avec la venue du Messie.

L’œuvre du Christ

Jésus a accompli le mandat créationnel

La promesse faite à Abraham, à savoir la venue d’une descendance, se réalise donc en Christ. Jésus apporte la bénédiction tant attendue à toute l’humanité (Galates 3) ! L’essentiel n’est pas d’être un descendant d’Abraham, ni d’avoir des enfants, mais d’être né de nouveau en Christ. Lui, le Christ, l’archétype de l’être humain idéal, l’image parfaite du Dieu vivant, il a été célibataire. Aurait-il manqué d’accomplir le mandat confié à l’homme lors de la Création : « multipliez-vous et remplissez la terre » ?

Jésus vient donner une nouvelle dimension à cet appel lorsqu’il ordonne à ses disciples :

 18 Jésus s’approcha et leur dit : « Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. 19 Allez, faites de toutes les nations des disciples, baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit 20 et enseignez-leur à mettre en pratique tout ce que je vous ai prescrit. Et moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. »

« Tout pouvoir m’a été donné » : l’assujettissement de la Création est total, Jésus est devenu le chef suprême. « Faites de toutes les nations mes disciples » : autrement dit, multipliez-vous ! Sur toute la terre, parmi toutes les nations, il y aura des descendants d’Abraham en Christ (Galates 3.26-29).

L’important n’est pas d’être en couple et d’avoir une famille de sang, l’important c’est d’être en Christ et d’avoir dans l’église des frères et sœurs pour l’éternité. Le mariage passera, les liens de sang disparaîtront, mais l’unité de l’Esprit demeurera pour toujours.

Paul, témoin d’un engendrement spirituel

Le Nouveau Testament présente un homme qui est témoin d’un célibat fertile : il s’agit de Paul. Lorsqu’on regarde tout ce qu’il a fait, on imagine aisément que c’était bien plus facile de le faire en étant célibataire. Il le dit d’ailleurs explicitement, en 1 Corinthiens 7, dont quelques versets sont extraits ci-dessous :

7 Je voudrais que tous soient comme moi ; mais chacun tient de Dieu un don particulier, l’un d’une manière, l’autre d’une autre. 8 A ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, je dis qu’il est bien pour eux de rester comme moi. 9 Mais s’ils ne peuvent pas se maîtriser, qu’ils se marient, car il vaut mieux se marier que de brûler de désir. […] 17 Par ailleurs, que chacun vive selon la part que le Seigneur lui a attribuée, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu. C’est ce que je prescris dans toutes les Églises. […] 32 b Celui qui n’est pas marié se préoccupe des affaires du Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur, 33 alors que celui qui est marié se préoccupe des affaires de ce monde, des moyens de plaire à sa femme. […] 37 Quant à celui qui tient ferme dans son cœur, sans contraintes et avec l’exercice de sa propre volonté, et qui a décidé en lui-même de garder le célibat, il fait bien.

De ces versets, relevons trois choses :

  1. Un don : « chacun tient de Dieu un don ». Ce don fait référence au mariage pour les uns, et aux célibats pour les autres. Dans les deux cas, il s’agit d’un don. Est-ce que nous accueillons la condition que Dieu nous donne, le mariage pour les uns, le célibat pour les autres, comme un don, ou la vivons-nous comme une contrainte ?
  2. Le célibat, ou le mariage, doit être un choix et non une contrainte imposée de l’extérieur.

Pour accueillir le célibat comme un don, il n’est pas nécessaire que ce soit un état définitif. On peut tout à fait accueillir le célibat comme un don tout en restant ouvert au mariage. Toutefois, à partir d’un certain âge sans avoir rencontré l’âme sœur, il peut être judicieux de se demander si le célibat ne pourrait pas devenir un choix définitif.

  1. Le célibat à l’immense avantage de nous garder disponible pour Dieu.

C’est ce que Paul a fait. Il a eu une vie de consécration totale à Dieu. Ne passons pas notre vie à poursuivre le mauvais objectif ! Le but de notre vie n’est pas de trouver un conjoint, car aucun être humain ne nous apportera le bonheur. Christ, oui. Jésus apporte le bonheur, c’est lui que nous devons poursuivre tout au long de notre vie ! Le but de notre vie n’est pas de fonder une famille. Le but de notre vie est de porter un fruit qui durera jusque dans l’éternité.

 19 Mes enfants,

C’est un célibataire, Paul, qui commence cette phrase ainsi (Galates 4.19)

 19 Mes enfants, j’éprouve de nouveau les douleurs de l’accouchement pour vous, jusqu’à ce que Christ soit formé en vous.

Aux Thessaloniciens, il a dit (1 Thessaloniciens 2 : 11-12) :

11 Vous savez aussi que nous avons été pour chacun de vous ce qu’un père est pour ses enfants : 12 nous vous avons encouragés, réconfortés et suppliés de marcher d’une manière digne de Dieu, qui vous appelle à son royaume et à sa gloire.

Paul a consacré sa vie a pour Dieu et a engendré des enfants spirituels. Non pour avoir une quelconque ascendance sur eux, non pour se glorifier, mais pour les a conduits à Christ afin qu’ils soient sauvés.

Comment vivez-vous votre célibat ? Est-ce une contrainte qui vous rend amer et égoïste ? Ou, au contraire, votre célibat est un témoignage de l’espérance que vous avez ? Bien sûr, il y a la question du témoignage, de faire des disciples, etc. Mais la question est en fait bien plus fondamentale : est-ce que votre manière de vivre votre célibat rend témoignage à l’espérance d’avoir trouvé quelque chose de bien plus précieux qu’un compagnon de route ou que des enfants ? Cette question se situe non pas dans nos attentes ou nos perspectives, mais dans le présent, dans l’aujourd’hui : où est-ce que je place ma confiance, ma foi ? Lorsque notre plaisir se trouve en Christ, cela déteint sur le reste de notre vie. La vie avec Dieu, ce n’est pas faire les choses pour avoir une apparence de bon chrétien. Au contraire, c’est trouver son plaisir en Dieu afin que nos vies soient transformées. Vous aurez remarqué que si j’ai adressé ces questions aux célibataires, elles sont identiques pour les personnes mariées, bien qu’ayant une manifestation différente dans le quotidien.

C’est de cette manière que votre célibat pourra témoigner de votre espérance.

Conclusion : une perspective sur l’éternité

Nous allons terminer notre parcours biblique sur le célibat en posant nos regards sur l’éternité. En Apocalypse 19 : 5-9nous dit que l’Église sera préparée comme une épouse pour Jésus. N’est-ce pas une perspective pleine d’espérance pour les célibataires comme pour les personnes mariées ?

5 Une voix sortit du trône et dit : « Louez notre Dieu, vous tous ses serviteurs, vous qui le craignez, petits et grands ! » 6 Et j’entendis comme la voix d’une foule immense. Elle ressemblait au bruit de grosses eaux, au grondement de forts coups de tonnerre, et elle disait : « Alléluia ! Car le Seigneur, notre Dieu tout-puissant, a établi son règne. 7 Réjouissons-nous, soyons dans la joie et rendons-lui gloire, car voici venu le moment des noces de l’Agneau, et son épouse s’est préparée. 8 Il lui a été donné de s’habiller d’un fin lin, éclatant, pur. » En effet, le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints.

9 L’ange me dit alors : « Écris : “Heureux ceux qui sont invités au festin des noces de l’Agneau !” » Puis il ajouta : « Ces paroles sont les véritables paroles de Dieu. »

[1] Disponible sur demande à l’adresse info@egliselesperance.ch

[2] Pour aller plus loin, on peut lire Barry DANYLAK, Le célibat réhabilité : signe du royaume qui vient – Barry Danylak – Librairie Mollat Bordeaux, (Théologie biblique), Charols, France, Excelsis, 2012, 269 pp. ; Ce livre est résumé dans l’article suivant : RÉDACTION, Enfin une réflexion solide sur le célibat !, https://lafree.ch/info/enfin-une-reflexion-solide-sur-le-celibat (Page consultée le 27 avril 2022).

[3] Dans cette partie, je reprends une grande partie de l’argumentation de Piper que l’on peut trouver ici : Single in Christ: A Name Better Than Sons and Daughters | Desiring God, https://www.desiringgod.org/messages/single-in-christ (Page consultée le 27 avril 2022).

Benjamin Henchoz
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