Comment est-ce que je me situe face au mal qui m’environne ? La question n’est pas de savoir ce qui se passe dans notre monde. Nous avons tous un accès large et facile aux nouvelles. En une requête Google, je peux savoir que sur internet en France, 15 % à 20 % des requêtes sont dirigées vers du contenu pornographique. En deux cliques, je peux savoir qu’il y a eu 47 381 infractions de violence déclarée à la police en Suisse. En quelques clics, je découvre que les infractions de violence déclarées à la police en Suisse atteignent 47 381 cas. Inutile même d’ouvrir un journal pour constater la présence continue de la drogue : il suffit de sortir de chez soi.
Bombardé par ce flot d’informations, on risque de glisser vers la résignation face à la réalité. La résignation engendre l’indifférence, et cette indifférence finit par banaliser le mal, qui devient presque inéluctable. Or, comment résister à quelque chose d’inéluctable ? Cette acceptation nous entraîne alors vers une participation au mal : d’abord passive, puis parfois même active.
Durant ces prochains mois, nous allons nous confronter à la deuxième lettre de Pierre. Cette lecture nous remettra en question sur notre attitude, notre manière de vivre, et notre espérance. Sommes-nous prêts à abonner ce que le monde nous promet pour recevoir ce que Christ nous donne ? Est-ce encore d’actualité de fuir la corruption de ce monde pour embrasser la bonne nouvelle de Jésus ? Et si tel est notre objectif, qu’est-ce qui pourrait nous empêcher de le vivre pleinement ?
Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ, à ceux qui ont reçu en partage une foi du même prix que la nôtre, par la justice de notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ : Que la grâce et la paix vous soient multipliées par la connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur !
Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu. Par elles les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous ont été données, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise […]
2 Pierre 1 : 1-4 (Colombe)
Commençons par la fin, parce qu’elle est très encourageante. Le but, c’est de participer à la nature divine, pour ceux qui ont fui la corruption. C’est assez extraordinaire : d’un côté, nous participons au bien en partageant la nature de Dieu ; de l’autre, nous nous détachons du mal en fuyant la corruption.
La résistance est possible !
Revenons au début. Simon Pierre… Rien que les deux premiers mots de cette lettre sont un encouragement. Simon est l’un des disciples de Jésus : il est toujours prêt à mouiller sa chemise. Il s’engage avant de réfléchir ! Laissez-moi vous raconter un épisode que l’on trouve en Luc 22. Jésus, à la veille de sa mort, prend un repas avec ses disciples. Sachant ce qui l’attend, il met en garde Simon. Simon va chuter, mais le Christ va prier afin qu’il ne reste pas captif du diable et conduise ses frères. Simon répond immédiatement qu’il était prêt à mourir pour Jésus !
Pourtant, une fois que Jésus est arrêté, il fait profil bas, et il renie Jésus par trois fois.
Heureusement, Dieu a entendu la prière de son Fils, puisque nous lisons aujourd’hui cette lettre ! Un des écrits les plus lus au monde ! La grâce de Dieu est immense. Jésus ne s’était pas trompé lorsqu’il lui a donné un nouveau nom en déclarant :
18 Et moi, je te dis que tu es Pierre et que sur ce rocher je construirai mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne l’emporteront pas sur elle. 19 Je te donnerai les clés du royaume des cieux : ce que tu lieras sur la terre aura été lié au ciel et ce que tu délieras sur la terre aura été délié au ciel.
Matthieu 16 : 18-19
Simon Pierre, serviteur… le premier mot qu’il utilise pour se décrire est serviteur, que l’on peut aussi traduire esclave. Il en a fait du chemin ! Si seulement toutes les personnes qui exercent des responsabilités, et particulièrement dans l’Église, avaient cette humilité, quel changement cela ferait ! Et c’est possible, car Dieu a la puissance pour nous transformer, Pierre en est la preuve.
Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ. Il est serviteur, mais aussi apôtre, ou envoyé, de Jésus-Christ. Lorsqu’on regarde la vie de Pierre, nous sommes déjà plongés dans cette finalité : il a participé à la nature divine et fuit la corruption du monde !
Résistez par la foi
Après l’auteur de la lettre vient la description des destinataires de cette :
à ceux qui ont reçu en partage une foi du même prix que la nôtre, par la justice de notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ
Pour que Pierre dise cela… il en a fait du chemin. Pierre, c’est celui qui en voyant Jésus marcher sur l’eau a dit : Seigneur, appelle-moi et je viendrai ! Et il a marché sur l’eau[1] ! C’est lui qui à l’annonce du tombeau vide a couru jusqu’au tombeau et entre sans aucune hésitation[2] ! Puis alors qu’ils s’étaient résignés à retourner pêcher, il se jette à l’eau lorsque Jésus apparaît pour le rejoindre[3]. Il a mouillé sa chemise, un homme d’une grande foi à n’est pas douter.
Et pourtant, il dit deux choses, et même trois :
- La foi est un don, on la reçoit de Dieu. C’est complètement fou ! Ça change complètement notre rapport à la religion et à la piété ! Puisque nous recevons la foi, nous n’avons aucune raison de nous en vanter. On ne peut pas non plus se réfugier derrière une petite foi : Dieu nous aurait-il donné quelque chose d’incomplet ?
- La foi des destinataires a la même valeur que celle de Pierre. Nous avons vite tendance à mettre des niveaux, des titres, des récompenses. La foi est précieuse. Ta foi est précieuse, ma foi est précieuse. Et Pierre nous inclut dans les destinataires de sa lettre : à ceux qui ont reçu en partage une foi du même prix que la nôtre ! Puisque la foi vient de Dieu, comment un homme pourrait-il se targuer d’avoir une foi plus précieuse que celle d’un autre ?
- La foi est reçue par la justice de notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ. C’est ce qui lui donne toute sa valeur. La justice de Christ est absolument parfaite, et donc notre foi qui se fonde sur son œuvre est également parfaite. Jésus est le sacrifice le plus précieux qui pouvait être offert à Dieu, et donc notre foi qui dépend de lui est également précieuse.
Recevoir la paix…
Que la grâce et la paix vous soient multipliées !
2 Pierre 1:2a
Les salutations se terminent par une prière, qui nous semble presque banale à force de l’entendre. La grâce et la paix… Et pourtant, ces deux choses n’ont pas de prix ! La paix… qui aimerait la paix dans sa maison ? Dans sa famille ? Au travail ? Dans son être intérieur ? Alors, n’hésitons pas à faire cette même prière : que la grâce et la paix vous soient multipliées ! Mais aurons-nous le courage d’ajouter la suite ?
Par la connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur !
2 Pierre 2b
… par la connaissance de Jésus
Et pourtant, aujourd’hui, ce serait tellement pertinent de le rappeler. Nos sociétés courent après la connaissance. Regardez les régions du monde qui se développent le plus rapidement et qui ont une économie florissante. Deux possibilités se présentent : soit les sous-sols regorgent de matières premières, soit il s’agit de centres de recherche ! Tous les pays qui souhaitent se développer, ainsi que les entreprises, investissent massivement dans la recherche de la connaissance. Malheureusement, ce n’est pas toujours pour la paix. Pourquoi ? Parce qu’on recherche en dehors de Christ. La connaissance et la réflexion ne sont pas mauvaises, pour autant qu’elles se fondent en Jésus. Cela concerne non seulement la connaissance spirituelle, biblique ou théologique, mais aussi toutes les autres formes de savoir que nous pouvons acquérir. Comment allons-nous faire le lien entre notre spécialisation professionnelle, ou notre passion, et notre foi ? Est-ce que l’approche technique d’un architecte chrétien sera la même qu’un architecte qui ne connaît pas le Christ ?
À l’époque de Pierre, le gnosticisme et la gnose prenaient de l’ampleur. Les questions des titres, de l’humilité et du savoir résonnaient particulièrement. Dans ce système de croyances complexe, l’élévation personnelle dépendait d’une connaissance approfondie. Mais est-ce que notre société ne ressemble pas un peu à cela ? Connaître, pour gagner des titres ? Dès le départ de sa lettre, Pierre remet les pendules à l’heure, pour les destinataires de sa lettre, mais pour nous également.
Fuir la corruption
Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu. Par elles les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous ont été données, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise […]
2 Pierre 1 : 3 – 4
Un texte incorruptible
La traduction de ce texte n’est pas facile, des différences importantes découlent des choix de traduction. On le remarque déjà sur les phrases. Dans la traduction que j’ai choisie, la Colombe, on s’arrête au milieu d’une phrase… mais pas dans d’autres traductions ! La ponctuation n’existait pas dans le grec du Nouveau Testament, elle apparaît plus tard. Plus difficile encore, les anciens manuscrits étaient écrits en majuscule et sans espaces ! Cela donne parfois à des divergences quant à la ponctuation à adopter. En revanche, le contenu du Nouveau Testament a été très bien transmis. De nombreux manuscrits ont été retrouvés, et les différences entre les manuscrits sont minimes, excepté pour un ou deux passages. Le texte de la Bible a été bien mieux transmis que d’autres textes d’auteurs très connus. D’ailleurs, aujourd’hui, toutes les différences sont systématiquement relevées et disponibles à tous ceux qui le souhaitent[4]. Donc lorsque quelqu’un prétend qu’un groupe de personnes a trafiqué le texte, ce sont des sornettes !
Une foi incorruptible
Pierre s’adresse à l’ensemble de ceux qui ont reçu la foi : vous et moi compris. Et dans ces deux versets, le chrétien est complètement… passif. Il est au bénéfice de ce que Dieu fait pour lui, et l’action de Dieu a deux conséquences : la participation à la nature divine, et la fuite de la corruption.
Alors, si le chrétien est totalement passif, est-ce que ce texte ne devrait pas s’appliquer à tous les hommes, même passifs ? Autrement dit, est-ce que tous les hommes ne sont pas participants de la nature divine ? La réponse est assez simple : ceux qui croient ce que disent ces versets sont bouleversés par son contenu et changent de comportement. Ceux qui n’y croient pas, tantôt sont hantés par le souci de bien faire, tantôt ils retournent vite à leurs activités : dans les deux cas, ils sont bien vite happés par la corruption de la convoitise. Peut-être te dis-tu que tu aimerais bien y croire, mais que tu n’y arrives pas : demande de l’aide à Dieu, c’est lui qui te donnera tout ce dont tu as besoin pour croire.
Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété
Un des pièges, c’est de croire que Dieu nous donnera tout ce que notre cœur pourrait désirer. Or Pierre précise : tout ce qui contribue à la vie et à la piété… Parfois, les désirs de notre cœur sont en réalité un désir de notre corps, pour ne pas dire de notre chaire puisque plus personne n’utilise ce mot. Mais qu’allons-nous écouter ? Les désirs qui nous sont propres, ou ceux qui conduisent à la vie et à la piété ? Nous allons revenir sur cette question, car elle n’est pas facile dans le quotidien, et Pierre nous donne des pistes pour ne pas se laisser séduire par la tentation.
Jésus, la base de la pyramide de vie
Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu.
On pourrait aussi traduire « par la connaissance de celui qui nous a appelés ». Jésus… le connaissons-nous vraiment ? Ce qui contribue à la vie et à la piété se trouve en Jésus. Alors la piété, on n’en doute pas ! Mais la vie, en sommes-nous convaincus ? Lorsque nous avons un problème au cours de notre existence, que faisons-nous ? Lorsque nous avons faim, nous mangeons. Lorsque nous sommes tristes, nous parlons à un ami. Lorsque nous sommes malades, nous allons voir un médecin. Toutes ces choses sont bonnes ! Mais quelle place laisse-t-on réellement à Dieu ? Allez, si nous sommes spirituels, nous prenons le temps de prier. Mais prenons-nous réellement le temps de connaître Jésus ? La difficulté, c’est que les solutions mentionnées ci-dessus ne sont pas mauvaises ! Nous connaissons tous de mauvaises solutions : se goinfrer pour passer le stress, aller sur un site porno pour évacuer la solitude, critiquer l’autre pour se sentir meilleure, etc. Ces comportements sont clairement à bannir ! Mais il y a une tromperie : qu’est-ce qui apporte la vie ? C’est la connaissance de Dieu.
Imaginez une pyramide alimentaire. Manger de la viande, c’est bon, mais avec modération. Si nous ne mangeons que de la viande, nous risquons de tomber malades. Jésus devrait être à la base de notre pyramide. La tromperie consiste à croire que quelque chose pourrait être plus essentiel à la vie que le Christ ! Ce processus touche directement à la piété. Car ce sont la prière, la lecture de la Bible et des pensées orientées vers le Christ qui produisent la vie. Mais lorsque nous arrivons à la maison après une journée de travail… c’est bien plus facile de regarder un truc sur internet, faire un jeu vidéo ou éventuellement aller faire du sport. C’est comme si nous accordions plus de crédit à cette activité qu’à Jésus pour notre épanouissement. Où plaçons-nous notre foi ? C’est de nouveau une question de pyramide alimentaire. Jésus, c’est la friandise dont nous devrions normalement nous passer ou le pain de vie qui soutient toute la pyramide ?
Ce qui est incroyable lorsque nous nous mettons réellement à rechercher la connaissance de Jésus, c’est que nous réalisons que nos efforts sont inutiles, car tout repose sur sa gloire et son excellence. Notre piété personnelle n’ajoute rien à la valeur de notre foi ! Car notre foi repose sur ce que Jésus a accompli. C’est la divine puissance qui nous sauve, la foi chrétienne ne peut se résumer à une connaissance !
Fuir les promesses du monde pour acquérir celles de Dieu
Par elles [la gloire et la vertu de Jésus], les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous ont été données, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise […]
Quelles sont les promesses auxquelles on s’attache ? Celle de Dieu, ou celles du monde ? Dans les difficultés de couple : divorce, tu retrouveras du temps pour toi et la paix ! Ou alors, pardonne à ton conjoint et aime-le comme ta propre chaire ? Si tu ne parles pas de Jésus avec tes voisins, on ne te regardera pas bizarrement et tu seras en paix.
Les promesses de Dieu sont immenses, et voici un résumé de la situation. D’un côté l’appel et les promesses de Jésus : porte ta croix à la suite du Christ, endure les souffrances présentes pour la gloire de son nom, et passe l’éternité dans le bonheur absolu. De l’autre, les promesses du monde : évite les souffrances actuelles en profitant au maximum de la vie puis passe l’éternité à souffrir.
Participer à la nature de Dieu et fuir la corruption du monde
Nous en arrivons au dernier point, qui ne sera pas le plus court : la mise en perspective de la participation à la nature de Dieu et la fuite de la corruption dans le monde qui existe par la convoitise.
La Bible ne dit à aucun endroit que nous allons fusionner avec Dieu. La promesse est d’être rendus semblable au Christ. Nous sommes fils, tout comme lui. À noter que cette vérité peut se dire au féminin : nous sommes filles, tout comme lui est fils. Mais il est Dieu, et nous serons à jamais créature. Cependant, dans notre union à Christ, nous sommes unis à lui d’une façon incroyable. Un verset dit que notre « vie est cachée avec Christ en Dieu » (Colossiens 3:3) !
afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise
La difficulté que j’ai trouvée dans la traduction de ce texte est que les actions, participer à la nature de Dieu et la fuite de la corruption, devraient être au passé. Elle débute au moment où nous recevons la foi ! On pourrait être tenté de traduire :
afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, vous qui avez fui la corruption qui existe dans le monde par la convoitise.
Dans cette fuite, trois choses qui ressortent :
- le monde, c’est-à-dire tout ce qui nous entoure et est voué à la destruction;
- la corruption, ça ne fait pas envie, ce n’est pas pur. La corruption, c’est le début de la fin, le début du démantèlement. Lorsqu’un morceau de viande commence à se corrompre, le mal gagne rapidement l’ensemble du morceau, qui n’est bon qu’à être jeté !
- la convoitise, par laquelle existe la corruption, c’est peut-être le pire. S’il était question d’un péché bien grand, bien flagrant, comme… l’adultère par exemple. On identifierait facilement la corruption ! Mais c’est plus sournois, la convoitise. À quel moment est-ce que nous réfléchissons, et à quel moment est-ce que nous convoitons ? D’ailleurs, la convoitise n’aurait jamais été identifiée comme péché si la loi n’avait pas dit : tu ne convoiteras pas ! (Romains 7:7ss) Et Jésus lui-même a dit que convoiter une femme, c’est déjà avoir commis un adultère dans son cœur… (Matthieu 5 : 28)
Mais pour en revenir à notre fuite… elle ne sera pas facile. Car aujourd’hui, notre société cherche à attiser cette convoitise. Pensons à la publicité ! Elle est omniprésente ! Dans les rues, sur internet, dans les vidéos avec des placements de produits, et presque systématiquement elle éveille notre convoitise en faisant… de fausses promesses. Alors comme le disait Gandalf : Fuyez, pauvres fous ! La lutte est inutile, l’ennemi est trop hideux, seule la fuite nous permettra de rester propres.
Fuir, mais comment ?
Comme nous l’avons vu ces derniers dimanches, il n’est pas question d’ouvrir un nouveau monastère. C’est un appel vibrant que Pierre adresse au chrétien à prendre conscience du mal qui nous entoure et à le fuir ! Cette prédication a été parsemée de pistes pour y parvenir, mais Pierre ne s’arrête pas là, il continue avec des exhortations en disant :
Pour cette raison même…
La suite dans la prochaine prédication !
[4] Certains logiciels bibliques permettent de comparer des photos des manuscrits. Pour une synthèse exhaustive des différences textuelles des manuscrits, on peut consulter le Eberhard NESTLE, Erwin NESTLE, et autres, Novum Testamentum Graece, (Deutsche BIBELGESELLSCHAFT éd.), Stuttgart, Deutsche Bibelgesellschaft, 27e éd., 2001, 89*+812 pp.
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